Encore un moment de maintenance sur le camping-car : le tout terrain demande des ajustements.
J’en profite pour mettre à jour le blog et regarder, observer, écouter la nature qui nous entoure. Le vent s’est levé comme tous les matins, il siffle, il s’engouffre dans les couloirs de dunes.
Le vent se lève toujours dans la matinée, de plus en plus fort jusqu’en fin de journée. Au plus chaud de la journée, cela apporte un rafraichissement. On monte jusqu’à plus de 32° dans la journée.
Chaque marocain que l’on croise nous donne sa version d’itinéraire, en fonction de ce qui l’arrange…. C’est assez comique……
Les plateaux se succèdent, tantôt secs, tantôt pierreux, tantôt sableux. Des paysages toujours variés. Des nombreux oueds à sec en cette saison.
Repas à l’ombre d’un acacia, toujours en plein vent, ce sont des bourrasques. On s’habitue à la longue.
Traversée d’un lac asséché, d’un nouvel oued. Il y a des oueds partout. Grand plateau de pierres plutôt beige. C’est peut être la partie de piste la moins belle que l’on ait eu. C’est une piste dure du point de vue sol, très chaotique. Il faut dire que l’on a vu tellement de belles choses que l’on devient exigeant.
Passage à Taouz avec sa carrière de pierres et on retrouve la route goudronnée qui rejoint Merzouga.
L’ arrivée à Merzouga longe les célèbres dunes. Elles sont ocres.
A l’entrée de l’erg de Chebbi, il faut passer à travers les mailles des faux guides. Et hop, ballade dans les dunes.
Cette fois-ci, c’est avec l’option touriste sur dromadaire. Très belles dunes, très hautes, on n’arrive jamais à la plus haute, il y en a toujours une autre derrière.
(25 kms de long sur 5 km de large).
Petite réflexion personnelle : c’est le désert apprivoisé dans toute sa splendeur. La route goudronnée, les dromadaires mais aussi les quads, les 4×4 qui montent sur les dunes. Tout est organisé pour le bon touriste…..
On n’a pas l’impression d’être dans le désert. Le désert cela se mérite. Il faut aller le chercher.
On perd cette sensation de tranquillité, sérénité comme on a pu le ressentir ailleurs. On entend de partout le grondement montant de la ville, on voit les lumières de la ville…… Cela n’enlève en rien à la beauté des dunes de Merzouga.
Bonjour
Vous avez gardé les sièges d’origine sur l’Iveco ?
Et si oui, sont ils confortables sur la piste ? Est on assez tenus ?
Merci pour votre réponse. … et pour vos photos !
Amicalement
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Bonjour,
Non pas les sièges d’origine, ils sont trop durs.
On a opté pour 2 sièges suspendus et chauffants proposés par iveco. Et il sont vraiment bien, même pour une journée tout terrain.
A+
Brigitte
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Merci.
Alors c’est les mêmes que nous !
On était habitués à des sièges semi baquets, et donc on a peur de ne pas être suffisamment tenus et d’avoir mal au dos. On est un peu rassures !
A bientôt
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Trop beau la photo de vous deux sur les dromadaires, merci et biz, Pascal M
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merci Pascal. Biz et à bientôt
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