BYC Tour

On quitte la belle lagune de Dakhla avec un magnifique lever de soleil pour faire les 300kms de désert blanc qui nous sépare de la Mauritanie.

On avait déjà eu la route de “NULLE PART”. Là c’est la route, certes en bon état, de “RIEN D’AUTRE AILLEURS”

                         

Sable blanc, parc à huitres

                      

Bivouac à Barbas avant le passage des deux frontières et du célèbre NO MAN’S LAND qui n’est plus ce qu’il était, sur quelques kms, tantôt route goudronnée, tantôt mauvaise piste pierreuse, surveillée par les Nations Unies et où s’accumulent voitures, camions abandonnés, désossés, ……

 

Premier contact avec la Mauritanie : le célèbre train de la mine, long de plus de 2kms et transportant du minerai de fer nous passe devant (mieux que EuroDisney !!)

                    

On troque notre beau camion contre un taxi local pour aller découvrir le Cap Blanc, réserve naturelle, où vit le dernier phoque moine du Cap Blanc, animal en voie de disparition à cause de la pèche intensive. Un projet est en cours pour ramener une colonie de 150 phoques moines. Il n’en reste que 500 dans le monde.

    

   

Abderahime, le responsable du site nous fait découvrir son petit coin de paradis :

                           

Magnifique plage de sable blanc, déserte et avec un accès sportif 

                 

     

Dans la baie des Lévriers, il ne reste que 6 ou 7 épaves échouées sur la plage. Il y en a eu jusqu’à 150.

                              

Je suis toujours surprise par les prouesses de quelques voyageurs hors normes. Michel descend en vélo jusqu’à Dakar.

 

Quelques commerces de Nouadhibou, la capitale économique de la Mauritanie

                

 

  

 

                                  

Des rues de Nouadhibou où le sable gagne.

   

Sidi’Hamed, rencontré au cours d’un repas, n’hésite pas à nous laisser ses coordonnées si besoin. On apprécie sa connaissance du pays et sa spontanéité.

Nous suivions Valérie et Christian dans leur périple de plusieurs mois en Afrique de l’Ouest. On les retrouve avec grand plaisir pour un échange instructif sur les itinéraires.

         

Les 4000 chaloupes du Port Artisanal de Pèche de Nouadhibou se préparent pour un départ en mer à la pèche aux poulpes. Les pécheurs chargent des bidons lestés dans lesquels les poulpes se refugient, les prenant pour des grottes.

     

Elles partent le lendemain matin, pour plusieurs jours en mer, Ce sera le défilé tout au long de la matinée

D’autres pécheurs jettent le filet.

           

Pas toujours en parfait état le Parc Automobile.

      

 

Toujours bien accueilli par les mauritaniens mais peu de photos de personnes. Très peu acceptent de se laisser prendre en photos.

Beaucoup de poissons et un peu de chèvre.

 

Le long de la route de Nouadhibou au Banc d’Arguin: du désert, du désert, et encore du désert.

                 

Et de temps en temps, un véhicule chargé, des épaves, des pneus ou bien la route qui se rétrécît